Liens Société Civile

Organisations de la société civile

Cette page recense différentes organisations de la société civile et institutions ou banque de développement susceptibles d’accompagner des organisations de la société civile.

CIVICUS est une alliance mondiale dédiée au renforcement de l’action citoyenne et de la société civile à travers le monde. Fondée en 1993, elle rassemble un réseau de plus de 15 000 membres et partenaires répartis dans plus de 175 pays.vLa mission de l’organisation est de défendre les libertés civiques et de renforcer le pouvoir des citoyens. Pour ce faire, ses activités principales sont l’analyse, le plaidoyer et la collaboration. CIVICUS produit des recherches et des outils, comme le « CIVICUS Monitor », qui évalue l’état de l’espace civique dans les pays. Son objectif est de rendre la société civile plus responsable, efficace et innovante.

Réseau international de promotion du droit et de la capacité des citoyens à influencer les décisions relatives aux ressources naturelles de leurs communautés  (250 organisations de la société civile, présent dans près de 50 pays).

Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement. Avec 20 réseaux d’ONG internationales, 28 associations nationales et trois membres associés CONCORD représente 2,600 ONG européennes.

ONG de protection de l’environnement créée en 1971, présente dans plus de 40 pays à travers le monde. Greenpeace se positionne comme un médiateur entre les préoccupations des citoyens pour la planète (un intérêt général) et les acteurs au pouvoir (États, entreprises). Par ses campagnes, ses rapports scientifiques et ses actions de plaidoyer (lobbying), elle porte des revendications écologiques dans le débat public et cherche à influencer les lois et les pratiques industrielles. L’organisation revendique et garantit son autonomie en refusant systématiquement tout financement provenant des États, des partis politiques ou des entreprises.

Mission : promouvoir et à défendre les droits et les intérêts des travailleurs au travers de la coopération internationale entre les syndicats, de campagnes mondiales et d’actions militantes au sein des principales institutions internationales.

Organisations Internationales

L’OCDE coopère avec la société civile pour améliorer la qualité et la pertinence de son travail. Elle reconnaît que les organisations de la société civile apportent une expertise et des perspectives sur les grands enjeux politiques. Le principal mécanisme de dialogue est le Forum annuel de l’OCDE, un événement qui rassemble des leaders de divers secteurs. En dehors de ce forum, la collaboration se poursuit à travers deux canaux principaux : les consultations publiques en ligne, qui permettent de recueillir des avis sur des projets spécifiques. Et les consultations directes avec les comités de l’OCDE, qui assurent un dialogue technique et continu.

L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) accompagne la société civile à travers divers mécanismes. Elle finance directement des projets de terrain via des appels à propositions, comme le fonds « La Francophonie avec Elles » qui soutient l’autonomie économique des femmes. L’OIF forme les membres d’associations sur des compétences pratiques : la communication, la gestion de projet, ou encore la préparation aux négociations internationales sur le climat. Enfin, elle fournit des outils, en publiant des guides sur la gouvernance ou la justice, et crée des réseaux thématiques, tel que celui des observateurs électoraux francophones, pour connecter et renforcer les organisations entre elles.

Nations Unies

 Réseau de la société civile des Nations Unies est une plateforme en ligne gérée par l’ONU, destinée à faciliter la participation des organisations de la société civile (OSC) aux activités des Nations Unies, notamment auprès de l’ECOSOC. Ce réseau permet aux ONG d’enregistrer leur profil, de gérer leurs informations, de demander le statut consultatif, de soumettre des rapports et de participer aux conférences et réunions internationales

L’ECOSOC (Conseil économique et social des Nations Unies) est un organe principal de l’ONU chargé de coordonner la coopération internationale sur les questions économiques, sociales et environnementales. Il élabore des recommandations et supervise les travaux des agences spécialisées de l’ONU dans ces domaines. L’ECOSOC entretient un lien direct avec la société civile en accordant un statut consultatif à plus de 6 000 ONG, leur permettant de participer à ses travaux, de soumettre des avis et d’organiser des événements parallèles. Ce mécanisme facilite la contribution des acteurs non étatiques à l’élaboration et au suivi des politiques mondiales. Ainsi, l’ECOSOC sert de plateforme de dialogue entre les États membres et la société civile. 

  • SLNG (Service de liaison non gouvernemental des Nations Unies)

Le Service de liaison non gouvernemental est un programme inter-organisations de l’ONU créé en 1975 pour compléter le régime formel du statut consultatif des ONG auprès de l’ONU. Son mandat est de travailler concrètement avec les organismes des Nations Unies et avec les ONG pour promouvoir, développer et gérer une collaboration constructive et mutuellement bénéfique à tous les niveaux du Système des Nations Unies.

  • UNAI (Impact universitaire)

Initiative mondiale qui vise à travailler avec les établissements d’enseignement supérieur en vue de promouvoir les objectifs des Nations Unies.

L’Impact Universitaire des Nations Unies (UNAI) appuie le monde académique, en tant que composante de la société civile, en le mobilisant pour soutenir les objectifs de l’ONU. Son soutien ne prend pas la forme d’un financement mais plutôt d’un réseau mondial qui connecte plus de 1 500 établissements. Concrètement, l’UNAI leur fournit un cadre d’action basé sur dix principes fondamentaux, comme les droits humains ou le développement durable. Il désigne également certaines universités comme des « Pôles ODD » (Objectifs de Développement Durable), qui deviennent des centres d’expertise et des meneurs d’activités pour un objectif précis.

  • UNU (Université des Nations Unies)

L’Université des Nations Unies (UNU) appuie la société civile en agissant comme le groupe de réflexion (« think tank ») mondial du système des Nations Unies. Sa principale contribution est de produire de la recherche indépendante et factuelle sur les défis mondiaux, tels que le climat, les migrations ou la gouvernance, via son réseau d’instituts spécialisés à travers le monde. L’UNU forme via ses programmes de master et de doctorat et rend ses publications accessibles en ligne.

L’UNU n’est pas un campus unique, mais un réseau mondial comprenant son siège à Tokyo (Japon) et plus d’une douzaine d’instituts et de programmes de recherche dans 12 pays. L’UNU offre uniquement des programmes de niveau post-universitaire (Master et Doctorat). Les candidatures se font directement auprès de l’institut qui propose le programme.

La Fondation des Nations Unies est une organisation philanthropique indépendante, créée en 1998 par Ted Turner pour agir comme un partenaire stratégique et un pont entre la société civile, le secteur privé et les Nations Unies. La mission première de la Fondation est de lever des fonds pour soutenir les agences, les programmes et les causes des Nations Unies. Plutôt que de fonctionner comme une fondation de subventionnement classique avec un guichet ouvert, elle crée ses propres campagnes et initiatives. Dans ce cadre, elle finance de manière ciblée des organisations de la société civile en les choisissant comme partenaires de mise en œuvre sur le terrain.

L’Unité de la société civile des Nations Unies, fait partie du Département de la communication globale (DGC). Son rôle principal est de servir de point de liaison officiel entre l’ONU et plus de 1 500 organisations de la société civile (OSC) associées. L’unité a pour mission d’informer ces organisations sur les priorités de l’ONU et de faciliter leur engagement auprès du système onusien. Pour ce faire, elle gère le processus d’association formelle et organise des événements comme des briefings, des ateliers, ainsi que la grande Conférence annuelle de la société civile de l’ONU.

ONU Femmes considère les organisations de la société civile comme des partenaires fondamentaux et indispensables pour la promotion de l’égalité des sexes. Cette collaboration, essentielle depuis la création de l’entité, s’opère à tous les niveaux : mondial, régional et national. Pour structurer ce dialogue, ONU Femmes s’appuie notamment sur des Groupes consultatifs de la société civile. Ces groupes offrent des conseils stratégiques et aident à l’élaboration des politiques. ONU Femmes fournit également un soutien financier à ses partenaires pour la mise en œuvre de programmes sur le terrain, reconnaissant leur rôle crucial comme agents de changement.

 Le lien entre l’UNICEF et les OSC est un partenariat stratégique et opérationnel. à l’Les OSC UNICEF d’accéder aux communautés les plus reculées et vulnérables, de mettre en œuvre des programmes vitaux (santé, éducation, protection) et de faire remonter les besoins du terrain. L’organisation s’appuie sur un réseau de plus de 10 000 OSC partenaires à travers le monde pour mener à bien ses programmes. Chaque année, ce partenariat se traduit par des flux financiers importants : environ 1 milliard de dollars sont transférés en liquidités à près de 4 000 OSC, et près d’un demi-milliard de dollars en fournitures sont acheminés aux communautés par leur intermédiaire. Pour l’UNICEF, il s’agit de tirer parti de l’agilité, de l’ancrage local et de la confiance dont jouissent les OSC. Pour les OSC est de passer d’un statut de simple sous-traitant à celui de véritable partenaire stratégique. L’enjeu de la « localisation de l’aide » est central : il vise à donner plus de pouvoir et de financements directs aux acteurs locaux, mais se heurte encore à des systèmes administratifs et de reporting lourds, souvent plus adaptés aux grandes ONG internationales.

Le lien entre l’UNESCO et la société civile est un partenariat formel et structuré, régi par des directives officielles qui organisent la coopération. Dans ce cadre, l’UNESCO s’appuie sur l’expertise technique, les réseaux locaux et la capacité opérationnelle de centaines d’organisations partenaires pour mettre en œuvre ses programmes et atteindre ses objectifs sur le terrain. En contrepartie, la société civile bénéficie d’une plateforme mondiale pour le dialogue et le plaidoyer, ainsi que de la possibilité de contribuer aux orientations stratégiques de l’Organisation.

En 2024, L’UNESCO entretient des partenariats officiels avec 424 ONG et 33 fondations. Le réseau des écoles associées de l’UNESCO, qui œuvre pour la paix dans l’esprit des enfants et des jeunes, compte 12 000 écoles dans 182 pays. Le réseau des écoles associées de l’UNESCO, qui œuvre pour la paix dans l’esprit des enfants et des jeunes, compte 12 000 écoles dans 182 pays. La Conférence Internationale des ONG est le forum biennal où les partenaires de l’UNESCO élisent leur comité de liaison et traduisent leurs discussions stratégiques en actions concrètes, telles que des initiatives mondiales et des recommandations politiques.

A titre indicatif, pour l’exercice biennal 2024-2025, le montant alloué au programme de participation (programme de subvention avec une mise oeuvre en partenariat avec des OSC) était de 10 192 800 USD soit 1,91 % du budget ordinaire total de l’UNESCO.

Le PNUD, en tant que grande institution internationale, a besoin des OSC pour être efficace. Les OSC ne sont pas de simples partenaires, elles sont des intermédiaires indispensables. Une OSC locale ou nationale bénéficie d’une confiance et d’une connaissance du contexte que le PNUD ne pourrait difficilement obtenir seul. S’associer à elles confère une validation et une acceptation locales aux projets du PNUD. Les OSC ont accès aux « derniers kilomètres », capables d’atteindre des communautés isolées ou marginalisées. Dans des contextes difficiles ou instables, ce sont les employés des OSC locales qui assument en premier lieu les risques opérationnels et sécuritaires au quotidien. En façonnant un écosystème d’OSC qui partagent ses valeurs (transparence, redevabilité, droits humains), le PNUD étend son influence et celle des normes internationales qu’il représente. En terme de soutien financier, au cours des cinq dernières années, 25 bureaux de pays du PNUD ont alloué plus de 2 millions de dollars à l’Indice de la société civile de CIVICUS, une initiative mondiale qui évalue la santé de la société civile. Il existe une certaine prise de conscience car dorénavant le PNUD affiche que « les OSC ne sont plus réduites au rôle de prestataires de services« 

L’OIT promeut la négociation, la consultation et l’échange d’informations comme principal vecteur du progrès social. Son principal outil d’influence est la création de normes internationales (les Conventions) et l’incitation à leur ratification et application par les États membres. l’OIT a développé une ligne politique résolument tournée vers l’action en partenariat avec la société civile. Elle se considère elle-même comme « solidement ancrée dans les institutions de la société civile ».  les défis contemporains (transition juste, chaînes d’approvisionnement, etc.) sont trop complexes pour le seul dialogue tripartite habituel. Il faut intégrer un large éventail d’acteurs (ONG, universités, entreprises) pour créer des alliances.

Pour s’impliquer concrètement auprès de l’OIT, une Organisation de la Société Civile (OSC) dispose aujourd’hui de plusieurs voies d’accès directes et vérifiées. La voie stratégique la plus récente est de rejoindre la Coalition mondiale pour la justice sociale en tant que partenaire, tandis que l’approche la plus formelle pour les ONG internationales consiste à demander un statut consultatif officiel. Sur le plan opérationnel, une OSC peut devenir un partenaire de mise en œuvre en répondant aux appels à propositions publiés par l’organisation.

  • HCDC  (Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme)- Société Civile

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) collabore avec les organisations de la société civile pour atteindre des objectifs communs en matière de promotion et de protection des droits humains. Dans le cadre de cette relation, le HCDH fournit des formations et un accès aux normes internationales pour renforcer les compétences de ces organisations. En retour, la société civile apporte son expertise de terrain et son soutien aux missions du HCDH. L’institution facilite également la participation de ces acteurs aux processus décisionnels de l’ONU et travaille à la protection de leur capacité à opérer librement (ce qui est défini comme « l’espace civique »). Chaque année, le HCDH distribue environ 14 millions de dollars pour financer quelque 200 projets d’ONG qui aident directement plus de 50 000 victimes de violations des droits humains. Parallèlement, l’institution facilite la participation de centaines d’organisations aux processus de l’ONU, accorde près de 1 000 bourses de voyage à des représentants autochtones et documente les cas de représailles dans une quarantaine de pays.

Banques de développement régionales
  • BAD (Banque africaine de développement) – Société civile

Les OSC sont des partenaires essentiels de la BAD pour atteindre ses objectifs de développement, notamment ses « High 5s » (Éclairer l’Afrique, Nourrir l’Afrique, Industrialiser l’Afrique, Intégrer l’Afrique et Améliorer la qualité de vie des populations). L’institution collabore formellement avec les OSC à travers des consultations, un forum annuel et leur implication dans le cycle des projets : de la conception à la mise en œuvre et au suivi. La BAD a atteint un record de 11 milliards de dollars d’investissements en 2024 pour l’ensemble de ses opérations. L’engagement avec la société civile se traduit par des financements de projets spécifiques où les OSC sont partenaires d’exécution. Par exemple, des fonds comme le Fonds pour les changements climatiques en Afrique financent des projets mis en œuvre par des OSC. 

Pour la société civile africaine, les enjeux majeurs sont le rétrécissement de l’espace civique dans plusieurs pays, une forte dépendance aux financements internationaux. Les financements se concentrent a lutte contre le changement climatique (adaptation, résilience, transition énergétique) ou la transformation numérique.  Les institutions promeuvent la « participation citoyenne » mais leurs processus restent souvent lourds, bureaucratiques et descendants, laissant peu de place à une co-construction réelle.

ENNOVA AI : plateforme pour soutenir l’entrepreneuriat numérique, connecter les start-ups à des financements et des formations, et stimuler l’innovation et la création d’emplois pour les jeunes en Afrique

  • BID (Banque interaméricaine de développement) – Groupes de consultation de la société civile (ConSOC)

Plus qu’une déclaration de bonnes intentions, la BID présente quelques éléments tangibles dans son partenariat avec la société civile. Tout d’abord une stratégie d’engagement auprès de la société civile et un plan d’engagement auprès de la société civile. L’objectif principal est de passer d’interactions ponctuelles et non coordonnées à une approche planifiée, mesurable et intégrée à toutes les opérations de la Banque. La BID est franche sur ces échecs passées, la précédente stratégie (2004) n’avait pas réussi à s’imposer comme un outil interne guidant les opérations » et été largement ignorée dans la pratique. La banque utilise dorénavant les contrats à impact social, conditionnant le financement non pas à la réalisation d’activités, mais à l’atteinte de résultats sociaux mesurables. De manière claire et transparente, la BID fournit les coordonnées du référent pour la société civile dans chacun de ses pays d’intervention.

La BID met à disposition une plateforme d’échange pour les organisations de la société civile : Weconnect avec un accès à des forums, de la documentation, des formations, des offres de bourse…

  • BAsD (Banque asiatique de développement) – ADB and civil society

La Banque Asiatique de Développement (BAD) positionne la société civile comme un partenaire essentiel pour l’efficacité et la durabilité de ses projets. En 2023, 60% des projets achevés par la BAD intégraient une collaboration planifiée avec des organisations de la société civile (OSC).

L’équilibre de ce partenariat peut paitre nuancé. Tandis que la BAD met en avant une approche de coopération structurée, notamment via son « Centre des ONG et de la société civile », certaines OSC percoivent un dialogue déséquilibré. Des critiques font état d’un engagement parfois « symbolique », où les voix de la société civile seraient marginalisées lors des prises de décision importantes. Voir ici.

Europe

  • CESE (Comité économique et social européen )

Le  Comité économique et social européen (CESE) est l’organe consultatif de l’Union européenne qui représente la société civile. Il est composé de 329 membres provenant de tous les États membres de l’Union européenne et est réparti en trois groupes distincts afin de représenter les différents intérêts de la société civile organisée : le groupe des « Employeurs », le groupe des « Travailleurs » et le groupe « Société civile organisée » (qui inclut des agriculteurs, des consommateurs, des ONG environnementales, etc.).  Le CESE se conçoit comme un « pont » entre les institutions de l’Union européenne et les citoyens. Il s’agit de garantir que l’expertise et les points de vue de ces organisations « de terrain » éclairent la législation et les politiques publiques européennes. Pour l’année 2024, le budget du CESE s’élève à environ 154,6 millions d’euros. Les membres du CESE sont nommés par les gouvernements nationaux. Si nous reprenons les réflexions de Gramsci sur la société civile, le modèle de fonctionnement du CESE  serait une illustration de la fabrique du consentement, à travers une diffusion de l’idéologie de la classe dirigeante, où l’État organise lui-même la société civile.

Les organisations de la société civile sélectionnées ont une opportunité d’influencer la législation européenne : lorsqu’une nouvelle loi est proposée, le CESE recueille leur expertise via des auditions. Cette expertise est ensuite intégrée dans un avis officiel qui est formellement transmis au Parlement et au Conseil de l’UE pour éclairer leurs délibérations.

Assemblée consultative des partenaires économiques et sociaux européens.

Vise la participation directe à l’élaboration des politiques européennes, en invitant la Commission européenne à présenter une proposition législative.  Voir également le guide de l’initiative citoyenne européenne. 

France

Favorise le dialogue entre les différentes composantes de la société civile organisée et qualifiée en assurant l’interface avec les décideur.euse.s politiques.

  • MAEDI (Ministère des Affaires étrangères et du Développement International) – Relations avec les organisations de la société civile
  • RRMA (Réseaux régionaux multi-acteurs)

Dispositifs régionaux d’échange, d’appui et de concertation multi-acteurs de la coopération internationale.

Coordination nationale des ONG françaises de solidarité internationale. Coordination SUD  rassemble  environ 160 ONG, dont plus de 120 via six collectifs (Clong-Volontariat, Cnajep, CHD, Crid, Forim, Groupe Initiatives) qui mènent des actions humanitaires d’urgence, d’aide au développement, de protection de l’environnement, de défense des droits humains auprès des populations défavorisées et des actions d’éducation à la solidarité internationale et de plaidoyer.

Afrique

Cameroun

  • Base de données des Organisations de la Société Civile

Côte d’Ivoire

Guinée

Mali

Maroc

Le FMAS est une organisation de la société civile marocaine, agissant comme une association de plaidoyer et de mobilisation pour la défense des droits humains. Son objectif principal est de bâtir un mouvement social citoyen qui soit à la fois démocratique et autonome, afin de constituer un véritable contre-pouvoir face aux institutions établies.

Pour aller plus loin